Top 7 des meilleurs souris gaming en 2024

Avec plus de 15 millions d’exemplaires vendus depuis ses débuts, la Razer DeathAdder a définitivement mérité sa place au panthéon des meilleures souris de jeu, et elle est en tête de notre guide des meilleures souris. Cette souris légendaire a évolué à travers de nombreuses versions et variantes, et avec la dernière en date, la DeathAdder V3 Pro, Razer a choisi de ne pas trop s’éloigner de sa formule gagnante. Ce modèle conserve l’excellente ergonomie et les performances de haut niveau qui ont fait la réputation de la DeathAdder.

Razer a donné un coup de jeune au DeathAdder, l’a rendu plus légère et plus affûtée, transformant ainsi cette souris en une machine de précision. Les changements de design sont assez subtils, mais ils peuvent surprendre les fans de longue date du DeathAdder. Les boutons de souris largement évasés et la coque lisse ont été remplacés par un profil plus fin et moins imposant, rappelant davantage le Viper Ultimate que les précédentes versions du DeathAdder.

La Razer DeathAdder V3 Pro conserve son design spécifique pour droitiers, avec une courbe inclinée qui s’adapte confortablement à la paume de la main. Elle est dotée d’un nouveau revêtement micro-texturé plutôt que du plastique lisse habituel. Ce changement contribue à une meilleure prise en main de la souris, qui pèse seulement 63 g (une réduction de 25 % par rapport à la version précédente), empêchant ainsi qu’elle ne glisse de ta main en plein jeu.

Conçue pour les professionnels de l’esport de haut niveau, la V3 Pro intègre la meilleure technologie de Razer. Elle est équipée du capteur le plus rapide jamais créé par la marque : le nouveau capteur Focus Pro 30K Optical, offrant une accélération de 70G et une vitesse maximale de 750 pouces par seconde pour une précision de 99,8 %. Bien que personne ne joue à un DPI aussi élevé, les fonctionnalités telles que la coupure asymétrique, la synchronisation des mouvements et le suivi intelligent assurent une performance inégalée, éliminant toute excuse de perdre une partie à cause de la souris.

Pour les cliques fréquents, la DeathAdder V3 Pro est équipée des commutateurs de souris optiques Razer de troisième génération, offrant un temps de réponse de 0,2 ms et une durée de vie de 90 millions de clics. Cela garantit une réactivité et une fiabilité exceptionnelles pour tous tes jeux.

La Razer DeathAdder V3 Pro est rapide, confortable, a une excellente autonomie et peut être extrêmement efficace entre de bonnes mains. Cependant, peu de joueurs peuvent vraiment tirer parti de son potentiel maximal. Pour beaucoup, le prix de la DeathAdder V3 Pro est tout simplement trop élevé, et posséder cette souris sans l’exploiter à fond, c’est un peu comme avoir une voiture de Formule 1 pour faire des courses quotidiennes ou aller à l’école.
Mais si tu te considères comme un pro de l’esport à la recherche d’un outil de précision, ultra-performant et dédié à la compétition, alors la V3 Pro est à la hauteur de sa réputation légendaire. Elle est conçue pour ceux qui veulent le meilleur et sont prêts à investir dans un équipement de pointe pour améliorer leur jeu.

Découvre la Logitech G305 Lightspeed : Logitech a réussi à mettre sur le marché une souris gaming sans fil haute performance à un prix très accessible. Son positionnement tarifaire intermédiaire lui permet de tenir tête à d’excellentes souris filaires, sans faire aucun compromis sur la qualité ou le design.

Le G305 est équipé du célèbre capteur Hero de Logitech, que tu retrouves dans les modèles phares comme le G502 ou le G Pro X Superlight. Son autonomie est remarquable : plus de 200 heures sur une simple pile AA, ce qui est non seulement économique mais aussi très pratique par rapport aux modèles avec batteries rechargeables.

Le design est ingénieux : le dongle sans fil se range à l’intérieur de la souris pour une portabilité maximale. Mais ce qui fait vraiment la différence, ce sont les boutons de clic gauche et droit, conçus comme des pièces séparées du repose-mains amovible, offrant ainsi une expérience de clic précise et agréable.

Quant à la forme du G305, elle reprend le design ambidextre et compact que Logitech maîtrise depuis des années. Certes, la molette de défilement et les boutons latéraux peuvent ne pas sembler aussi premium que sur la G502, mais ils surpassent largement ce que proposent les souris gaming d’entrée de gamme. Pour son prix, les performances et la qualité du G305 sont tout simplement remarquables.

La Razer DeathAdder V2, c’est comme une mise à niveau de luxe de la DeathAdder Elite, déjà une star parmi les souris gaming et qui roule sa bosse depuis 2016 sous différentes versions.
Tu peux te jeter sur le DeathAdder V3 qui est la version améliorée actuelle, mais franchement, l’ancienne version a tellement de charme, surtout avec son prix super attractif en ce moment. On parie que c’est le meilleur deal qualité-prix du moment.

La grosse nouveauté du V2, c’est le capteur optique Focus+, le même petit génie qu’on trouve dans le super Razer Viper Ultimate Wireless. Je vais y revenir, mais ce qui m’a vraiment bluffé, c’est les petits changements que Razer a intégrés dans le V2. Commençons par la molette de défilement. Razer a donné un nom un peu pompeux à son nouveau design, « Instinctive Scroll Wheel Tactility », mais franchement, le résultat est top. La sensation est juste parfaite. Ça tourne tout doux, mais chaque cran est bien marqué, donc tu ne vas pas te retrouver à défiler comme un fou par accident.

Le coup du câble spécial, le « Speedflex Cable », ça peut sembler gadget, mais en vrai, c’est une révolution. Perso, j’utilise une version du DeathAdder (l’Expert) depuis des années, et si j’avais un truc à redire, c’est que le câble rigide pouvait parfois influencer le mouvement de la souris sur mon bureau. Le câble du V2 est le plus souple que j’ai vu sur une souris gaming, et ça fait toute la différence. Peu importe comment tu gères tes câbles, celui-là ne te gênera pas.

Les boutons gauche et droit sont aussi plus solides que sur l’Elite. Ils sont optiques au lieu de mécaniques (ils utilisent un rayon de lumière infrarouge pour détecter les clics), ce qui devrait réduire les clics accidentels, diminuer la latence et allonger leur durée de vie. Razer promet 70 millions de clics, contre 50 millions pour l’ancienne DeathAdder Elite. Même si je peux pas te dire si ce chiffre est exact, je peux te dire qu’ils répondent super bien, et pas de clics foireux. Dans Fortnite par exemple, mes tirs étaient instantanés, sans crainte de tir accidentel.

Et là, on arrive au capteur, le clou du spectacle chez Razer. Comparé au DeathAdder Elite, il monte jusqu’à 20 000 DPI/CPI (contre 16 000), suit jusqu’à 650 pouces par seconde (contre 450) et a une précision de résolution de 99,6 % (contre 99,4 %). Ces stats boostées, tu ne t’en rendras peut-être pas compte au quotidien. Qui a besoin de plus de 16 000 DPI/CPI, sérieux ?

Mais, comme souvent avec les souris Razer récentes, les boutons gauche et droit sont un peu sensibles. Ils sont nickel si tu cliques droit dessus, mais la moindre pression latérale les fait bouger. Ça me fait penser qu’ils risquent de pas super bien vieillir si tu balances ton V2 dans un sac à la va-vite. C’est un petit bémol, mais j’ai remarqué le même truc sur le Viper Ultimate Wireless, et j’espère que Razer va régler ça. Ça pèche un peu côté solidité générale.

Si la Logitech G203 Lightsync te semble familière, c’est normal. Cette souris peut sembler nouvelle, mais elle est quasiment identique à sa prédécesseure, la G203 Prodigy.

La G203 Lightsync entre dans la catégorie compétitive des souris gaming à petit budget. Elle doit faire face à une concurrence féroce, notamment de la part de Razer avec ses modèles comme le Deathadder Essential, le Basilisk Essential et le Viper Mini. Malgré cela, la G203 Lightsync a de quoi se distinguer. Son design simple mais efficace mise sur une touche esthétique subtile que tu ne retrouveras pas aussi marquée ailleurs.

La G203 Lightsync est une souris filaire. Si tu cherches une option sans fil, c’est vers la technologie Lightspeed qu’il faut se tourner. La fonction Lightsync, c’est la compatibilité de la souris avec l’application Logitech G et le système d’éclairage RVB, permettant d’harmoniser les effets lumineux RVB sur les produits Logitech compatibles. Il est intéressant de noter que même les produits non Lightsync peuvent interagir avec l’application, à différents niveaux.

Les trois zones lumineuses se trouvent sur la fine bande à l’arrière du repose-mains, avec le logo prenant la même couleur que la zone lumineuse RVB centrale. Bien que le contrôle indépendant du logo aurait été apprécié, cette configuration permet de créer de superbes effets de dégradé tricolore.

La G203 Lightsync se décline maintenant en blanc et gris (contrairement à l’ancienne version blanc et noir du Prodigy), ce qui lui donne un look vraiment sympa pour 40 €. La seule autre différence notable avec la G203 Lightsync par rapport à son prédécesseur est la couleur grise de la molette de défilement, au lieu du noir habituel.
J’ai testé le modèle blanc pour cette revue, et bien que je ne puisse pas prévoir son apparence dans cinq ans, je peux te dire qu’il est franchement impressionnant dès le déballage.

La G203 Lightsync conserve le même design presque ambidextre que le Lightspeed de Logitech, avec deux boutons sous l’endroit où repose le pouce droit. Ces boutons ne sont ni amovibles ni interchangeables, ce qui est un point faible dans ce design par ailleurs unique.

Le capteur « de qualité jeu » de la G203, offrant une plage de DPI de 200 à 8 000, est largement suffisant pour la plupart des utilisations, y compris sur des écrans 4K. Ce capteur assure une performance de jeu fiable et a passé tous les tests de capteur de souris avec succès.

Peut-être que la décision de Logitech de ne pas révolutionner sa souris gaming à chaque nouvelle version de la G203 reflète une confiance dans ce qu’elle apporte à la gamme de prix abordable. Les modifications apportées avec la G203 Lightsync, bien que modestes, ne justifient pas de l’écarter de notre sélection des meilleures souris gaming pour le moment.

Au premier coup d’œil, la Logitech G502 X peut sembler très proche de ses prédécesseurs, mais si tu creuses un peu, tu découvriras des améliorations clés, surtout pour les fans de FPS. Pas de changement côté capteur par rapport au G502 Hero 25k déjà top, mais des upgrades ergonomiques et de personnalisation assez cool, sans parler d’une réduction de poids bienvenue.

Logitech a vraiment mis le paquet pour alléger la G502 X, qui pèse maintenant 89 g, bien moins que les 121 g du Hero. Dommage, par contre, qu’on ne puisse pas ajuster le poids comme sur la Hero, surtout qu’elle est vendue au même prix.
Pas de LED derrière le logo Logitech G, ni de RGB du tout, d’ailleurs. Ça peut sembler un peu triste pour les fans de customisation lumineuse, mais ça colle bien avec le vibe FPS que Logitech veut donner. Et même si la molette de défilement est passée au plastique pour alléger l’ensemble, elle garde son défilement infini, un must-have !

Par rapport à ma souris gaming fétiche, la Logitech G502 Lightspeed, j’ai repéré des petites différences qui peuvent paraître minimes mais qui influencent pas mal l’expérience d’utilisation.

En termes de prise en main, une des grosses nouveautés c’est l’angle d’inclinaison qui donne cette sensation de souris verticale trendy, offrant une ergonomie supérieure à la pose à plat traditionnelle.

Avec son super repose-pouce et des boutons plus longs, la G502 X devient une championne de l’ergonomie, apportant des améliorations qu’on ne soupçonnait même pas nécessaires dans la série G502.

La G502 X garde le même capteur, mais passe aux commutateurs hybrides Lightforce, opto-mécaniques, combinant vitesse optique et action mécanique. Ça peut sembler un peu étrange au début, sûrement à cause de l’allègement interne.
Côté prix, on est dans la même fourchette que les versions précédentes.

Perso, je trouvais le modèle précédent parfait, et c’est un peu dommage de perdre en poids, même si les changements ergonomiques sont sans doute mieux pour ma main. Cette nouvelle ergonomie risque de ne pas plaire à tous, surtout ceux avec de grandes mains ou qui n’aiment pas l’inclinaison. Et pour les fans de RGB comme moi, ça fait mal au porte-monnaie.

Ça fait une éternité qu’on a pas jeté un œil à la souris gaming filaire Logitech Pro, et franchement, j’ai été surpris de voir que le design n’a presque pas bougé, avec juste quelques upgrades sous le capot. Les versions Pro Wireless et Pro X Superlight Wireless ont gardé un design similaire. Après l’avoir testée un moment, on se dit clairement que si ce n’est pas cassé, autant ne pas changer.

Des améliorations comme le capteur optique Hero 25K lui donnent un DPI max de 25 600. Avec ses 85 grammes, elle n’est pas la plus légère des souris, mais elle se sent bien en main sans avoir besoin de trous partout comme la Glorious Model O. Si tu kiffes les FPS comme CS:GO ou Valorant, elle devrait faire l’affaire. Perso, je suis pas fan des souris trop légères qui semblent fragiles.

La G Pro est super agréable à utiliser, surtout dans Diablo IV, où faire exploser des hordes de zombies avec un Nécromancien est un vrai plaisir à chaque clic. Mais pour moi, le vrai test, c’est toujours dans un FPS. Et là, content de dire que j’ai assuré dans Fortnite, surtout avec des flingues précis !

La G Pro est réactive, et les clics droit et gauche ont une super latence. Elle est pas trop bruyante comparée à d’autres modèles pour gamers, ce qui est toujours appréciable. Les deux boutons latéraux tombent pile où il faut pour mon pouce, donc pas besoin de trop le bouger.

Je programme souvent les attaques au corps à corps sur ces boutons, donc le dernier truc que tu veux, c’est de chercher partout ce bouton quand tu veux mettre un coup de crosse à quelqu’un dans Call of Duty Warzone.

Bref, c’est un design qui a fait ses preuves, et franchement, pas étonnant qu’il n’ait pas beaucoup changé.
La souris à 6 boutons n’est pas la plus flashy, mais j’adore la bande lumineuse RVB qui parcourt le dessus, sous la paume. La personnalisation du RGB se fait via l’app Logitech G Hub, super facile à utiliser et assez complet pour tout ce qui est assignation de boutons et de souris.

J’aurais aimé que Logitech opte pour un design ambidextre pour faire un clin d’œil aux gauchers, comme avec le G Pro Wireless et ses boutons des deux côtés.

Le Logitech G Pro ne va pas te renverser avec son look, mais là où elle impressionne, c’est dans le jeu. C’est une formule qui marche, tant que tu ne t’attends pas à un tas de features en plus.

Même si la Naga Pro Wireless a été un peu éclipsée par la Naga V2 Pro Wireless, son prix plus abordable la rend toujours attrayante. C’est pourquoi on kiffe encore l’ancienne version, surtout si elle reste aussi bon marché qu’actuellement.

Ce que tu as ici, c’est à la fois une souris MMO et une souris sans fil. Un combo 2 en 1 qu’on ne peut juste pas ignorer. La Naga Pro laisse tomber le câble pour la connectivité Razer HyperSpeed Wireless et Bluetooth. Elle est aussi équipée de commutateurs optiques de souris et d’un capteur ultra-performant de 20 000 DPI.

Le design de la Naga Pro est assez proche de celui de la Naga Trinity qu’elle remplace, mais elle a pris un peu de poids pour intégrer la nouvelle techno. La Naga Pro est plus large de 7 mm et plus lourde que la Trinity (117 g), mais grâce à ses patins en PTFE à 100 %, elle glisse sans effort sur presque toutes les surfaces. Il faut un peu de temps pour s’habituer à cette souris plus grande ; mes grandes mains ont dû adopter une prise à pleine paume. Mais les boutons profilés et un support pour l’annulaire facilitent vraiment la prise en main. Les grips en caoutchouc texturé pour le pouce et le petit doigt aident aussi pas mal.

J’adore les commutateurs opto-mécaniques de Razer, qui utilisent la lumière pour détecter les clics, ce qui les rend super rapides. Ces commutateurs sont aussi très durables, avec une durée de vie de 70 millions de clics. Et bien sûr, la Naga Pro a aussi plein d’autres boutons. Les trois plaques interchangeables offrent 2, 6 et 12 boutons que tu peux configurer comme tu veux.

Configurer les boutons dans Razer Synapse, c’est hyper simple. Tu peux tout faire, des raccourcis clavier simples aux macros de jeu complexes, ajuster les DPI, les taux de polling, et évidemment, l’éclairage Razer Chroma.
Mais tout ça ne vaut rien si l’expérience est lente. Heureusement, l’HyperSpeed Wireless assure grave. J’ai testé le lag sur vsynctester.com et j’ai été bluffé. En mode filaire, j’ai eu 6 ms et en sans fil, 6,1 ms, donc presque pas de différence. Le Bluetooth était un peu plus lent, mais franchement, au quotidien, c’est kif-kif.

Le capteur optique de la Naga Pro a aussi été upgradé vers le Razer Focus+ 20 000 DPI, avec un suivi à 650 IPS. C’est largement au-delà de ce dont la plupart ont besoin : moi, je dépasse rarement les 8 000 DPI.
Avec toute cette technologie, l’autonomie de la batterie pourrait inquiéter, mais la promesse de Razer de 150 heures tient la route. J’utilise cette souris depuis une semaine, environ 14 heures par jour, et il me reste encore 35 % de batterie. Ça inclut beaucoup de jeu, de boulot et de switch entre le sans fil et le Bluetooth.

Honnêtement, à part l’absence de dock, je ne trouve rien à redire sur la Naga Pro. Pour ceux qui détestent les câbles et cherchent vitesse, précision et polyvalence, la Razer Naga Pro est un excellent choix.